CONCOURS DU MEILLEUR ROMAN

Pour chacune et chacun d’entre nous, le Kiwanis est avant tout un club service dont le but est “Servir les Enfants du Monde”. Il s’agit là d’un engagement humaniste auquel nous sommes tous attachés et que nous associons fréquemment dans nos clubs à des actions culturelles (conférences, visites de musées, de sites historiques, etc.). Diverses actions visant à développer le goût de la lecture chez les jeunes enfants sont également conduites par certains de nos clubs. C’est dans ce contexte qu’est venue l’idée de créer en 2016 un Prix Littéraire du Kiwanis France-Monaco. Son but est d’apporter notre contribution à la promotion de la littérature francophone par la reconnaissance et la découverte d’auteurs débutants.

Depuis 2021, il a été décidé de changer ce “Prix Littéraire” en Concours du Meilleur Roman”.

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Règlement du Concours

  1. Le Concours du Meilleur Roman du Kiwanis International District France-Monaco est destiné à récompenser une œuvre littéraire écrite en langue française pour promouvoir des auteurs débutants quel que soit leur âge. Ce concours souligne l’engagement du Kiwanis France-Monaco dans l’action culturelle et la promotion de la francophonie.
  1. Le Concours du Meilleur Roman est organisé par un jury composé de Kiwaniens et de non-Kiwaniens, présidé par Monique Barre-Sans (Club de Pau Jeanne d’Albret).
  1. Conditions de participation :
  • Le roman doit être présenté sur proposition d’un(e) membre du jury.
  • Roman non préalablement primé et édité depuis moins de deux ans à compter du 1er Janvier de l’année en cours.
  • Le roman doit être le premier ou second roman de l’auteur
  • Les romans édités à compte d’auteur sont recevables.
  • Ce concours n’est pas ouvert aux auteurs Kiwaniens.
  • Date limite de dépôt des romans auprès du jury : 31 Octobre.
  1. Chaque membre du jury sélectionne 5 romans parmi ceux proposés à partir des résumés (quatrième page de couverture). Il/Elle communique sa sélection à la présidente du jury au plus tard le 30 Novembre.
  1. Chaque membre reçoit une fiche de classement qu’il/elle remplit et envoie à la présidente du jury avant le 20 Avril, dernier délai.
  1. La présidente du jury établit le classement à partir de ces fiches.
  • Le roman arrivant en tête est proclamé “Meilleur Roman du Kiwanis District France-Monaco (année)”
  • Le résultat est annoncé au Congrès Annuel (Mai), éventuellement en présence du lauréat.

Si vous souhaitez participer au jury de ce concours du meilleur roman (et même si vous n’êtes pas membre du Kiwanis), merci de contacter Monique Barre-Sans (nicky.barre.sans@gmail.com)

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Concours du Meilleur Roman du Kiwanis District France-Monaco 2023-2024

Le concours 2023-2024 a été remporté par:

“Déchirer le grand manteau noir “d’Aline Caudet

“Mariée et mère de trois enfants, Lucie a  tout pour être heureuse. Alors qu’elle vient d’emménager et a pris soin de ne pas communiquer sa nouvelle adresse, les fantômes du passé frappent à sa porte. Victime d’humiliations et de violences infligées par ceux qui devaient la protéger durant son enfance, Lucie a dû se battre pour exister. Convoquée chez un huissier, elle apprend que ses parents réclament le droit de voir ses enfants. Afin de mettre ses derniers hors de danger, elle sollicite l’aide de ses amis et de ses proches. Au gré des attestations qui lui parviennent, ressurgissent  de douloureux souvenirs. Bien décidée à protéger ceux qu’elle aime, Lucie va devoir faire face à un implacable engrenage judiciaire, révélant au passage de terribles secrets de famille.
Déchirer le grand manteau noir est un roman  poignant qui dénonce les violences physiques et psychologiques. C’est aussi la chronique d’une patiente reconstruction de soi grâce à l’amitié, la solidarité et l’amour sans faille de héros ordinaires.
Aline Caudet a écrit ce premier roman parce qu’elle avait  “une histoire à raconter” celle de Lucie, fortement inspirée de la sienne, elle-même victime de maltraitances psychologiques dans son enfance.

Les autres nominés de cette année

– “La colère et l’envie “d’Alice Renard, mais comme, entretemps, il a reçu un prix littéraire, ce roman n’a pas pu concourir.
– “Les Mikhaïlov” de Régis Ivanov ( classé 4ème ).
“Cette saga commence à Saint-Pétersbourg en 1905, lors de la première révolution russe. Quatre générations de Mikhaïlov nous emmènent à travers l’histoire de l’Europe, ses révoltes et ses guerres. A chaque époque, ils forcent leur destin. On les suit en Lettonie, en Belgique, puis en France. Coupés de leurs racines, ces migrants en quête perpétuelle ,d’identité gardent intacte leur âme slave, le sens de la démesure et de la fête.
Les rencontres improbables, les amours passionnées se succèdent,  mais aussi les fuites, les ruptures et les abandons. Leur imaginaire attire la chance, même dans les situations les plus critiques.
Quand un fils de la quatrième génération, en France, est victime d’un cauchemar répétitif, son père va rencontrer les derniers Mikhaïlov en Lettonie. Y aurait-il une transmission transgénérationnelle ?
– “Tout le monde mérite sa chancede Catherine Brettes (classé 3ème )
“Charline est une enfant placée à l’Aide Sociale à l’Enfance. A 17 ans, elle est victime d’une sortie sèche de son foyer et doit, désormais, se débrouiller seule pour se loger et trouver un emploi. Elle essaie d’éviter les pièges tendus aux jeunes filles de sa condition. C’est  difficile. Elle va chercher de l’aide auprès de l’ASE. En vain. Après une année de galère vécue à l’étranger, elle rentre en France et retrouve, par hasard, Oscar, un ancien co-placé à la dérive, qu’elle va tenter d’aider. Mais peut-on venir au secours d’autrui quand on manque soi-même de fondations?
On dénombre dans notre pays près de 370 000 enfants placés, dont la moitié est victime de sorties dites “sèches”. Ils finissent à la rue, sans argent, sans logis, sans emploi. Privés de l’essentiel, on les retrouve dans les chiffres de la délinquance, de la psychiatrie, du proxénétisme, des sans-abri.
– “Le diplôme “d’Amaury Barthet ( 2ème ).
” Pour réparer l’injustice, a-t-on le droit à l’imposture ?
Jeune, intelligente, Nadia a toutes les compétences pour réussir. Il ne lui manque qu’un diplôme pour en attester et lui ouvrir les portes d’un avenir meilleur.  Conquête pour certains, droit inné pour d’autres, ce sésame agit ici comme le révélateur d’un vaste mensonge érigé en système.
Guillaume, prof de banlieue désabusé va lui en offrir les clés. Mais si le mérite se monnaie au même titre que le sexe, le pouvoir et les idéaux, quel est le prix à payer ?
Amaury Barthet orchestre le récit d’une revanche à double tranchant, mêlant critique sociale et fable philosophique. Un premier roman dérangeant, cruel et drôle, qui dénonce les faux-semblants de la société.

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Concours du Meilleur Roman du Kiwanis District France-Monaco 2022-2023

Le concours 2022-2023 a été remporté par:

“Georges et Carmen” de Jean Rousselot, éditions Phébus

 

 

 

George Bizet est mort à trente-six ans, sans savoir que Carmen deviendrait l’opéra le plus connu de tous les temps. Le compositeur a docilement passé sa vie à faire ce que l’on attendait de lui, jusqu’à sa rencontre avec une femme libre qui se moque du regard des autres. Cette femme, c’est à la fois Carmen, l’héroïne de son opéra et Célestine Galli-Marié, sa première interprète, dont il tombera follement amoureux.

 

 

 

 

Les autres romans nominés étaient:

  • “Schiller est mort” de Laurent Becker, éditions L’Harmattan

Été 1938. Lily n’a qu’un rêve : quitter l’Est de la France et devenir institutrice à Paris pour enfin s’émanciper de la tyrannie qu’exerce son père, si tant est que ce père avec lequel elle partage si peu soit vraiment celui qu’elle croit. Jules et Pierre, ses deux amoureux, ne ressentent quant à eux nullement l’appel du large : entre leurs métiers respectifs – de facteur pour Jules, de chauffeur d’autobus pour Pierre – et les bals qu’ils organisent dans toute la contrée, ils profitent de la vie sans amertume ni appréhension. Se doutent-ils seulement que déjà le temps de l’insouciance touche à sa fin et que bientôt sonnera, pour eux comme pour Lily, l’heure des dilemmes ? Vivre sur une terre violée ou rejoindre le pays qui les a abandonnés ? Se soumettre ou garder leur dignité, quitte à en payer le prix ?

  • “La belle famille” de Laure de Rivières, éditions Flammarion

« Quand j’ai répondu à cette petite annonce, et Dieu sait qu’à cette époque j’aurais pris n’importe quoi, je n’aurais jamais pu imaginer ce qui allait m’arriver.

D’ailleurs, personne n’aurait pu s’en douter.

Et je ne sais pas si quelqu’un aurait pu m’en protéger. »

Manon a 20 ans quand elle rencontre l’homme qui va changer le cours de sa vie. Charmeur et sûr de lui, ce catholique intégriste et père de cinq enfants révèle peu à peu son caractère trouble et dangereux. En fonçant tête baissée dans l’obscurité d’une famille et d’un monde qui lui sont étrangers, Manon s’engage sur un chemin chaotique dont personne ne sortira indemne.

Inspiré d’une histoire vraie, ce roman nous est raconté à la fois par Manon, jeune étudiante indépendante et affranchie, ainsi que par tous les protagonistes, chacun ayant un regard et un jugement différents.

Qui est cette femme capable d’abnégation, de bonté mais aussi de vraie liberté ?

  • “L’interrogatoire” de Suzanne Azmayesh, éditions Léo Scheer

Issue d’une famille iranienne exilée, Ava est fiancée à Simon, juif ashkénaze. Un été, elle se rend avec lui en Israël pour un mariage. Une fois arrivée à l’aéroport Ben Gourion, elle est l’objet d’un interrogatoire de plusieurs heures, visant à vérifier qu’elle ne représente aucun danger pour le pays.

Questionnée sur son rapport à l’Iran, à l’Islam et à l’histoire de sa famille, Ava n’a d’autre choix que de se confronter à cette double culture parfois lourde à porter, pour elle qui ne connaît rien du pays qu’a fui sa famille. La question de l’identité, mais surtout de ce flottement qui existe entre le regard des autres et la manière dont on se perçoit soi-même, est au cœur de ce roman.

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Concours du Meilleur Roman du Kiwanis District France-Monaco 2021-2022 

Le concours a été remporté par Pierre Olhegaray pour son roman “L’oeuf de la haine et de la vengeance .”

Xavier Andurandéguy est commissaire de police à Bayonne, où il coule des jours tranquilles malgré une histoire personnelle difficile et un désenchantement chronique.
Quand surviennent des meurtres commis au fond du Pays Basque rural.
Des hommes sont tués suivant un rituel que personne ne comprend, une inscription tracée au feutre noir sur leur poitrine. Les personnages du drame se mettent en place : curé, ancien chef de l’ETA, bouchers, député, cuisinier, diplomate, paysans… Tous se connaissent, certains partagent un lourd secret. Mais personne ne parle malgré la menace de mort de plus en plus proche. La peur monte et le doute s’insinue dans les esprits.
Xavier Andurandéguy s’obstine, chasse, gratte, cherche dans une angoissante course contre la montre. L’ambiance devient petit à petit étouffante, tendue presque désespérée. Comment tant de haine et de silences coupables peuvent cohabiter et se déchaîner dans un pays aussi beau, calme et tranquille ? La vérité éclatera, cruelle, surprenante, troublante et terrible à la fois. Personne n’en sortira entier et les plaies seront longues à cicatriser.

Les autres romans sélectionnés par le jury étaient les suivants:

  • La cuillère de Dany Héricourt, éditions Liana Lévy

L’objet brillant est sagement posé sur la table de nuit. Seren devrait prêter attention à son père, étendu sous le drap: sa mort vient de les surprendre tous, elle et ses frères, sa mère et ses grands-parents, mais c’est la cuillère en argent ciselée qui la retient: elle ne l’a jamais vue dans la vaisselle de l’hôtel que gère sa famille au Pays de Galles. À l’aube de ses dix-huit ans, la jeune fille pourrait sombrer, mais les circonstances aiguisent sa curiosité. L’énigme que recèle l’objet, avec son inscription incisée, la transporte. Elle se met à dessiner passionnément (la cuillère) et à observer toute chose de son regard décalé. Un premier indice sur sa provenance la décide à traverser la Manche, à débarquer en France et, au volant de la Volvo paternelle, à rouler. La cuillère pour boussole. Beaucoup d’égarement, une bonne dose d’autodérision et un soupçon de folie l’aideront, dans son road-trip loufoque, à se confronter à ce peuple étrange qui confond Gallois et Gaulois, avant de découvrir en Bourgogne un château chargé d’histoire(s).

  • Aussi riche que le roi de Abigaël Assor, éditions Gallimard

« Il y avait l’odeur des brochettes, les gars des tables Coca-Cola qui la sifflaient : t’es belle petite, le bruit sur le terrain d’en face avec les chants du Raja, l’équipe de foot de Casa ; il y avait le vent frais de janvier, le tintement des canettes qui s’entrechoquaient, les insultes, les crachats ; et il y avait Driss, là, sur le côté. Elle le voyait, géant sur ses jambes courtes, une main tranquille sur l’épaule du flic, et l’autre fouillant sa poche pour lui glisser un petit billet de cent, sa bouche lançant quelques blagues entendues, un clin d’œil de temps en temps ; et le flic en face souriait, attrapait le billet, donnait à Driss une tape dans le dos, allez, prends une merguez, Sidi, ça me fait plaisir. Driss, le géant au milieu des pauvres, Driss le géant qu’elle venait d’embrasser, pensait Sarah ; avec son fric, il n’y aurait plus jamais de flic, plus jamais de lois — ce serait eux deux, la loi. »

Années 1990, Casablanca. Sarah n’a rien et à la sortie du lycée, elle rencontre Driss, qui a tout ; elle décide de le séduire, elle veut l’épouser. Sa course vers lui, c’est un chemin à travers Casa et ses tensions : les riches qui prennent toute la place, les joints fumés au bord de leurs piscines, les prostituées qui avortent dans des arrière-boutiques, les murmures faussement scandalisés, les petites bonnes harcelées, et l’envie d’aller ailleurs. Mais ailleurs, c’est loin.

  • La dame couchée de Sandra Vanbremeesch, éditions Le Seuil

De 2000 à 2019, une jeune femme a été l’assistante de vie d’une vieille dame tout sauf ordinaire, recluse dans sa propriété pavillonnaire de la ville de Meudon : Lucette Destouches, veuve de Louis Ferdinand Céline.

Voici le récit de ces années passées dans un monde à l’écart du monde, véritable plongée dans l’intimité de cette future centenaire dont la santé va déclinant, rythmée par le ballet des visites régulières des amis et de la faune gravitant autour de la Veuve, jusqu’aux animaux de compagnie, autres bestioles et spectres peuplant la mythique maison.

Un premier roman écrit au cordeau, qui brosse le portrait tout en nuances de la femme d’un célèbre écrivain et restitue avec élégance et maestria un climat très singulier.

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Prix Littéraire 2021 du Kiwanis District France-Monaco

Pour des raisons évidentes liées à la pandémie de COVID-19, la cinquième édition du Prix Littéraire du Kiwanis 2020-2021 a été fortement perturbée et ne pourra être présentée, le congrès de Biarritz étant annulé dans sa forme présentielle habituelle.

le Prix Littéraire 2021 a été attribué à David Zukerman pour son roman San Perdido (Ed. Calmann Levy)

 Un matin de printemps, dans la décharge à ciel ouvert de San Perdido, petite ville côtière du Panama aussi impitoyable que colorée, apparaît un enfant noir  aux yeux bleus. Un orphelin muet qui n’a pour seul talent apparent qu’une force singulière dans les mains.

Il va pourtant survivre et devenir une légende. Venu de nulle part, cet enfant mystérieux au regard magnétique endossera le rôle de justicier silencieux au service des femmes et des opprimés et deviendra le héros d’une population jusque-là oubliée de Dieu.

Les autres romans sélectionnés par le jury étaient les suivants :

  • Mon Père ce Tueur, Thierry Crouzet. Ed. La Manufacture de Livres

Thierry grandit dans l’ombre glaçante de Jim, élaborant des scénarios de fuite et se barricadant toutes les nuits dans sa chambre. Quelques années après la mort de ce père menaçant, le fils se plonge dans les photographies et les carnets où Jim ne parle que de la guerre. Il décide de partir à la recherche du fantôme, de retrouver par les mots celui qui avait été un jeune garçon à qui l’on avait appris à être un tueur. Car pour se garder de transmettre l’héritage de la violence, il faut en connaître la source.

  • Loin, Alexis Michalik. Ed. Albin Michel

Tout commence par quelques mots griffonnés au dos d’une carte postale : « Je pense à vous, je vous aime ». Ils sont signés de Charles, le père d’Antoine, parti vingt ans plus tôt sans laisser d’adresse. Avec son meilleur ami, Laurent, apprenti journaliste, et Anna, sa jeune sœur complètement déjantée, Antoine part sur les traces de ce père fantôme. C’est l’affaire d’une semaine, pense-t-il… De l’ex-Allemagne de l’Est à la Turquie d’Atatürk, de la Géorgie de Staline à l’Autriche nazie, de rebondissements en coups de théâtre, les voici partis pour un road movie généalogique et chaotique à la recherche de leurs origines insoupçonnées.

  • L’atelier du désordre, Isabelle Dangy. Ed. Le Passage

À Barbizon, dans les années 1860, alors que le Second Empire s’achemine sans le savoir vers le désastre, René Dolomieu, un jeune peintre mélancolique remarqué pour quelques portraits sensibles, côtoie les maîtres du paysage et leurs disciples qui arpentent la forêt de Fontainebleau, s’exercent à peindre sur le motif et boivent du vin râpeux à l’auberge Ganne. René n’est ni un séducteur ni un libertin, et pourtant il plaît aux femmes. Il prend ce qu’elles ont à donner, parfois sans trop savoir qu’en faire. Lorsqu’enfin il se marie, le hasard lui met entre les mains une fabrique de porcelaine qui l’initie à la chimie d’une matière précieuse et fragile. Mais le désordre l’intéresse au moins autant que les principes subtils du kaolin et de la composition des motifs. Aussi, dans l’intimité de son atelier, il continue à peindre sans relâche des toiles qu’il ne montre à personne, ou presque…

  • 1793, Niklas Natt och Dag. Ed. Sonatine
  1. Le vent de la Révolution française souffle sur les monarchies du nord. Un an après la mort du roi Gustav III de Suède, la tension est palpable. Rumeurs de conspirations, paranoïa, le pays est en effervescence. C’est dans cette atmosphère irrespirable que Jean Michael Cardell, un vétéran de la guerre russo-suédoise, découvre dans un lac de Stockholm le corps mutilé d’un inconnu. L’enquête est confiée à Cecil Winge, un homme de loi tuberculeux. Celui-ci va bientôt devoir affronter le mal et la corruption qui règnent à tous les échelons de la société suédoise, pour mettre à jour une sombre et terrible réalité.

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Prix Littéraire 2019 du Kiwanis District France-Monaco

 Le Prix Littéraire 2019 du Kiwanis District France-Monaco a été attribué Mick Kitson pour son roman Manuel de survie à l’usage des jeunes filles.

Que font deux gamines en plein hiver dans une des plus sauvages forêts des Highlands en Ecosse, à des kilomètres de la première ville ?

Elles ont préparé leur fuite pendant plus d’un an: boussole, couteau de chasse, trousse de premiers secours. Elles ont étudié le Guide de survie des forces spéciales.

Elles savent construire un abri, allumer un feu, chasser à la carabine…

Mais que fuient-elles ?

 

Une belle histoire, forte, authentique et touchante.

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Prix Littéraire 2018

Pour cette troisième édition du Prix Littéraire du Kiwanis, les membres du comité ont choisi parmi cinq romans, celui de Laetitia Colombani, Ed. Grasset,

La tresse

La tresse

Trois femmes, trois vies, trois continents. Une même soif de liberté.

Inde. Smita est une Intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper à sa condition misérable et entrer à l’école.

Sicile. Giulia travaille dans l’atelier de son père. Lorsqu’il est victime d’un accident, elle découvre que l’entreprise familiale est ruinée.

Canada. Sarah, avocate réputée, va être promue à la tête de son cabinet quand elle apprend qu’elle est gravement malade.

Liées sans le savoir par ce qu’elles ont de plus intime et de plus singulier, Smita, Giulia et Sarah refusent le sort qui leur est destiné et décident de se battre. Vibrantes d’humanité, leurs histoires tissent une tresse d’espoir et de solidarité.

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Prix de Littérature 2017 :

Le Prix de littérature 2017 du Kiwanis International District France-Monaco a été attribué à Carine Bausière pour son roman : “Qui décide tous les soirs, d’allumer les étoiles ?”

Prix Littéraire 2017

 

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Prix de Littérature 2016 :

Le Prix de littérature 2016 du Kiwanis International District France-Monaco a été attribué à Bernard Prou pour son roman “Alexis Vassilkov ou La vie Tumultueuse du Fils de Maupassant” (Brouette éditions). À la veille de sa mort, Guy de Maupassant connaît une ultime idylle avec la peintre Lioubov Andréievna Vassilkova. Les tribulations d’Alexis, leur fils irrévélé, le conduisent dans la Russie révolutionnaire. Bientôt le jeune médecin fait partie de l’entourage proche de Staline et se retrouve déporté au goulag de Mirny, en Sibérie, où il est initié à la franc-maçonnerie dans une loge clandestine. Ses engagements, sa bonne fortune, l’appui occulte d’un chamane yakoute et l’amour de la belle Ayami, lui rendent la liberté et la France de son enfance. En 1940, Alexis rejoint la Résistance dans le maquis de Haute-Loire…

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